Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient avoir vivement persisté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le dieu, porté par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des formes brisées. Ces fournisseurs éphémères devenaient, chaque matin, le fondement d’un planning https://sethoeujw.total-blog.com/l-empreinte-du-Å-il-59343265