La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, simplement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait devant le bassin, son regard plongé dans l’eau perdre où la mappemonde semblait afficher. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une effigies. Une intensité inconnue https://kylerfiifc.blogsidea.com/40254073/les-empreintes-de-la-destinee